Le 01/07/2025, suite à l’annulation de mon vol retour à l’aéroport de Nice, je me suis rendu en urgence à l’agence Hertz de l’aéroport pour louer un véhicule me permettant de rentrer chez moi. J’avais déjà loué une voiture dans cette même agence quatre jours auparavant sans problème (contrat n°5502216192, 320 € pour 4 jours – Peugeot 2008 toute neuve). Lors de cette seconde location, le personnel de l’agence m’a informé qu’il ne restait qu’un seul véhicule disponible, un Renault Trafic en mauvais état, proposé à un tarif de 941€ pour 24h, incluant plusieurs assurances et options que je n’ai jamais demandées. Ce tarif est totalement disproportionné pour un tel véhicule (voir facture ci-jointe, 137€ HT hors assurance). J’ai clairement refusé toutes les assurances, en indiquant que je possédais une carte American Express Platinum qui me couvre déjà. J’ai également demandé l’application de mon code CDP, comme d’habitude. Malgré cela, l’agent a refusé toute modification en m’indiquant que je n’avais pas d’alternative, et que je devais soit payer ce tarif et prendre le véhicule, soit rester à Nice sans solution pendant plusieurs jours, compte tenu de la grève du trafic aérien. Je me suis donc vu contraint d’accepter, sous pression, ce contrat. Après la prise en charge, j’ai découvert une assurance “My Choice Premium” facturée à 560€, ainsi que d’autres services injustifiés (assurance pour GPS inexistant). Je précise que 8 témoins passagers peuvent attester de la situation, dont un huissier de justice qui était le second conducteur du véhicule, et que je suis en possession de tous les justificatifs. Malgré ma réclamation auprès du service client, Hertz a refusé tout remboursement, arguant que le contrat avait été signé et que les options étaient “acceptées volontairement”, ce qui est manifestement faux. Que puis-je faire ?
Léo répond :
En droit, une fois signé, un contrat engage définitivement les parties (article 1103 du Code civil). Hertz est donc en droit de vous refuser tout remboursement.